Des détournements, des idioties, de la gribouille, des petits poneys, du rire, du consternant, des pigeons, surtout du consternant en fait, bref que des choses totalement palpitantes...

samedi 13 octobre 2012

A la conquête du monde...

Chers amis,

Un mien camarade m'a fait la surprise de m'inscrire aux Golden Blog Awards. Comme il m'a dit, c'est tout à fait symbolique vu que les inscriptions se finissent dans quelques jours, et les votes dans peu de temps également, et que c'est ouvert depuis deux mois. Il n'y a donc aucune chance que je gagne le premier prix (pas cette année mais qui sait... *rire machiavélique sur fond de ciel noir zébré d'éclairs avec des hurlements de terreur en fond sonore et un éclair rouge en contre-plongé sur ma face déformé par le mal sardonique le plus complet*)

Donc par respect pour sa flatteuse démarche (rha oui vénérez-moi, lecteurs éblouis par mon humour transcendant!), je mets ici le module de vote :


Par ailleurs, j'en profite pour mettre une ou deux choses au point. D'abord, j'ai décidé de mettre maintenant le titre de l'oeuvre et son auteur (enfin le vrai, quand il n'y a pas encore mes traits d'humour ravageurs), quand je les connais du moins. Comme ça en plus de ricaner bêtement, on deviendra super cultivés, histoire de ne jamais entendre, comme le Petit Spirou de la part de M.Mégôt : "L'immenserie de votre incultance dépasse l'entendure, M.Spirou!" (j'adore cette phrase!)

Ensuite j'ai résolu le majeur problème qui me chiffonnait un peu, à savoir les histoires de droit d'auteur sur les images que j'utilise (oui comme je suis graphiste, que voulez-vous, moi ça me chiffonne un peu). Légalement, j'ai tout à fait le droit de les utiliser s'il s'agit d'une parodie, or je pense que nous serons tous d'accord pour dire qu'il s'agit de grosses parodies des diverses oeuvres, dans un but humoristique. Me voilà la conscience tranquille.


Jozef Israels, Famille de paysans à table Huile sur toile, 1882.  

Note de la rédaction: ceci est une dédicace spéciale à mon plus jeune frère qui, traditionnellement, regarde le contenu de son assiette tout juste servie par la main dévouée de ma mère, et, relevant un regard aux sourcils foncés, demande systématiquement avec un air rebuté: "Pourquoi on est punis?" (charmant enfant). 

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